© Marine Réveilhac
© Marine Réveilhac
1.
Pour une agriculture pérenne, qui préserve l’environnement et les ressources calédoniennes
2.
Pour des pratiques favorables à la biodiversité, à la vie du sol et aux écosystèmes en général
3.
Pour lutter contre le réchauffement climatique
4.
Pour la prise en compte du bien-être et des besoins physiologiques et éthologiques des animaux, notamment la possibilité de sortir en plein air
5.
Pour la valorisation de pratiques ancestrales océaniennes
6.
Pour se nourrir d’aliments cultivés sans produits chimiques de synthèse, OGM, ni pratiques polluantes nocives
7.
Pour suivre le cycle naturel des saisons dans son assiette
8.
Pour privilégier les circuits courts
9.
Pour consommer des produits transformés comportant moins d’additifs que les produits conventionnels
10.
Pour soutenir une démarche exigeante, de bonnes conditions de travail dans les exploitations agricoles et des partenariats commerciaux équitables
11.
Pour privilégier le choix d’espèces et de races adaptées aux conditions locales, afin d’éviter le recours à des traitements intensifs
12.
Pour un paysage agricole varié, enrichi (agroforesterie) et adapté au climat
13.
Pour des emplois plus nombreux et l’amélioration des moyens de subsistance des producteurs du Pacifique, de leurs familles et des populations
14.
Pour soutenir le système de garantie participatif, choisi pour la labellisation Bio Pasifika en Nouvelle-Calédonie et qui repose sur la confiance, l’échange et la participation active des différents acteurs
15.
Pour une traçabilité assurée des cultures et des pratiques
16.
Pour la garantie de productions inspectées chaque année afin de vérifier que les exigences de la norme océanienne d’agriculture biologique (NOAB) sont bien respectées
17.
Pour la fiabilité d’un label officiel, reconnu par le gouvernement de Nouvelle-Calédonie
18.
Pour soutenir l’agriculture de Nouvelle-Calédonie et les producteurs engagés dans la démarche
19.
Pour œuvrer à la sécurité alimentaire du pays, en privilégiant des pratiques qui améliorent la fertilité du sol, s’affranchissent des produits de synthèse importés et choisissent des cultures adaptées aux conditions locales
20.
Bref, pour participer au développement de l’agriculture biologique en Nouvelle-Calédonie et dans le Pacifique
… et il y en a encore tellement d’autres !
« Une exploitation bio abrite en moyenne 30 % d’espèces en plus et 50 % d’individus en plus qu’une exploitation non labellisée »
source : https://www.fibl.org/fr – Institut de recherche de l’agriculture biologique